Oran Gégivre (le peintre) une fois bien reposé, raconta a l'inspecteur Folken tous ce qu'il avait vu le soir du meurtre du jongleur.
Folken : "Raconté moi en détail, même les plus stupide, ce que vous avez vu ce soir là."
Oran (le peintre) :" Je venais de sortir de mon atelier qui ce trouve pas loin de là ou la troupe du cirque était installé. Je traverse toujours par ce terrain vague car je rentre chez moi plus vite en passant par là. Le cirque était bondé de monde car j'entendais les applaudissements et les voix des spectateurs qui hurlait a chaque tour de piste fini.
Je longuais les caravane sans faire de bruit pour ne pas dérangé ce qui dormait et là entre deux caravanes, l'une blanche et l'autres bleu, je vis l'ombre..."
Folken : "L'ombre du tableau, celle que vous déssiné ???"
Oran : "Oui et non, car de là ou je me trouvais je ne voyais que l'ombre que projetais les spot du cirque..."
Folken : "Vous avez quand même suivi cette ombre !!!"
Oran : " Je ne sais pourquoi, mais j'ai bien suivi cette ombre,
comme-ci elle m'avais dit :
"Viens, suis moi, je vais te montré quelques chose, aller viens !!!!"
Oran : "Je l'ai suivi sans même ment rendre compte, et là j'ai vu la bague de feu qui commencais a brillé entre ses doigts..."
Folken : "C'était un homme ou une femme ?"
Oran : "La personne était tellement bien camoufflé dans sa cape que je sais pas trop, cela peut être l'un ou l'autre..."
Folken : "Ensuite, que c'est t-il passé une fois arrivé devant la caravane de la victime ?"
Oran : "je n'ai pas vu la silhouette rentré dans la caravane mais j'ai entendu une voix bien distincte, c'était celle d'un homme qui demandais un dernier délai pour je sais trop quoi, puis un bruit comme un sifflement a résonné, je me suis bouché les oreilles pour ne pas l'entendre, mais c'était comme-ci le bruit passait a travers moi.."
Folken : "Combien de temps a durée le bruit ?"
Oran : "Assez longtemps pour que je me retrouve par terre en me pliant de douleur, puis dès que le bruit c'est arrété, je me suis relevé et j'ai regardé vers la caravane et là j'ai vu la silouhette sortir avec un grand sac noir a la main gauche là ou se trouve la bague et de la main droite une sacoche ou une petite valise, bref quelques choses de ce genre, là silouhette m'a vu et elle est parti comme un courant d'air, j'ai même pas tenté de la poursuivre, j'était encore sous le coup du bruit dans mes oreilles."
Folken : "Ensuite, vous avez fait quoi ?"
Oran : "je me suis approché de la caravane pour voir ce qui si trouvait et la j'ai vu du sang et je suis parti comme une flèche, directement chez moi, je me suis enfermé a double tour et j'ai appelé la police sans dire mon nom."
Folken : "De peur de représaille ?"
Oran : "Non, pas tout suite en tous cas, j'ai commencé a avoir très très peur, quand les coup de téléphone et les paquets bizarre sont arrivées, tous parlait de ma futur mort si je parlait de cette soirée a la police".
Folken :"Vous pensiez que cela allais très vite s'arrangé ?
Oran : "Oui, mais mes nerfs on laché comme vous avez put le voir quand je vous ai tiré dessus a la galerie, et depuis la peur me hante, est ce que vous pouvez m'aider a arrêté ce cauchemar ?"
Folken : "Je vais tous faire pour vous sortir de cette galère, tous d'abord vous aller me décrire la taille, le poids de la silhouette, les gestes ( droitier au gaucher) a proximatif bien entendu, tous ce qui peut me permettre de faire un portrait un peu plus détaillé du ou de la meurtrière et surtout le detail de la bague, car je pense que cela va être la clé de cette affaire."
Oran : "Très bien, la personne devait faire au moins 1 m 80, son poids devait être entre 50 et 70 kg, la personne était assez svelte, un corp galbé, bien musclé, pour les gestes je ne sais pas trop, car je ne l'ai pas vu ouvrir la porte.."
Folken : "Mais vous l'avez surement vu s'appuyer sur le bord de la fenetre, là ou vous l'avez dessiné sur votre toile ? souvenez vous !!!"
Oran : "Gauche, sa main gauche. Elle a attrapé en premier le sac pour la mettre dans sa main droite et ensuite elle a pris la valise dans sa main gauche et est parti dès q'elle m'a vu."
Folken : "Bien, c'est très bien, bravo et pour la bague ?"
Oran : "Elle était très très grosse, de forme assez ovale, car en rond cela ne donne pas le même aspect a la main, je dirait qu'elle représente un serpent, un gros serpent."
Folken : "Comment pouvez vous le savoir ?"
Oran : "En cours de prépa pour mon diplome de peintre on m'a appris a faire la différence entre pleins de figure qui existe dans la société, et celle-ci est la plus grosse des figures, je suis sûre de ne pas me trompé, si cela ne représente pas un serpent, cela peut être un spécimen de la même famille, comme un cobra ou quelques chose comme ça."
Folken : "Vous pourriez me dessinez la bague ?"
Oran : "Je vais essayé."
Folken : "Merci, cela va mettre utile pour mes recherches, peut être que cette bague est la pièce qui va faire tombé le masque du tueur."
Après quelques heures de dessin, Oran avait enfin fini le croquis de la bague et l'inspecteur était sans voix, la bague était d'une splendeur incroyable, malgré le fait qu'il manquais la couleur, la bague était magnifique. Folken decida d'envoyer un fax a un de ses informateurs pour savoir si une tel bague existait dans la société et a qui elle pouvait bien appartenir. Pendant l'attente de la recherche, Folken decida de mettre Oran sous surveillance, en le cachant dans un appartemnt privé de la police, là il s'avait qu'il était hors de porté de ses agresseurs.
Quand enfin la recherche tant attendu fut arrivé, Folken n'en croyais pas ses yeux, le nom qui figurais sur le fax était celui de la femme de son superieur, Monsieur Bleuet, le haut commissaire en chef de la brigade criminelle et la bague avait été tous spécialement fabriqué a l'occassion des 50 ans de mariage de son chef.
Comment la femme du chef pouvais t-elle être impliqué dans cette affaire ?
Que va bien pouvoir raconté Folken a son superieur a propos des indices qui accuse la propre femme de celui-ci de meurtre ?
A SUIVRE |