*/*/*/*/* Bonjours les genssssssssssssssssssssss alors déjà je souhaite une très bonne rentrée (bon je sais j'suis en retard mais meme pas peur) à tout le monde du monde of the world. Bon alors attention: J'EXPLIQUE!!! alors j'ai une amie qui s'est amusée à mettre des commentaires sur cette fictions ( elle n'a lu que le debus de la fiction, j'ai continué plus tard) et je les ai trouvé tellement cons que j'les ai laissé, j'espere donc qu'ils ne vous derrengeront pas pendant votre lecture, sinon faudra frapper Caconouille c'est SA faute. Voilouuuuuu j'vous fais des poutous pleins de courage pour ce longgggggggggg chapitre que j'ai moins aimé que le précédent XD mais bon ....
bouzouzeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee*/*/*/*/*
Ca y est, une nouvelle journée qui débute. Bon pour l’emplois du temps ça va je m’en sors, vu que c’est tous les jours le même : il est cinq heure, je me lève, je ne vous parlerais pas de mon état faciale et oui c’est toujours difficile le matin >.< Je prépare donc le petit déjeuner pour mon oncle, pour qu’il soit prêt dés son réveil. Je bois mon chocolat chaud, seule à ma table, mon oncle étant toujours endormit, des images, des pensés trottent dans ma petite tête, c’est le moment de la journée que j’aime le moins. Ayant terminé tout mon petit repas solitaire je m’en vais à la salle de bain afin de me préparer, il est cinq heure et demi, la préparation habituelle : une petite douche, une nouvelle salopette, j’attache mes cheveux et ça y est je suis prête ah non je ne dois pas oublier ma ceinture équipée de mes outils. Voilà tout est prêt ! Et en plus je suis à l’heure, il est six heure !
-Ok ma poule c’est à toi de jouer maintenant !
Donc je suis au rez-de-chaussée, pffff je n’aime pas ces toilettes ce sont les plus utilisés de l’académie. Bon aller je ne me plains pas et je fonce, plus vite j’y vais, plus vite ce sera terminé. J’ouvre la porte avec l’appréhension habituelle, ça y est je m’approche, la porte s’ouvre automatiquement, je sers les dents (caco : ET LA TU GERBES NORMALEMENT), la lumière s’allume automatiquement elle aussi, je sers les points, la porte finit de s’ouvrir 0.o ah ça y est l’air est aspiré à l’intérieur de l’antre, mes sourcils (caco : C’EST PAS TON MONO SOURCIL ???) se froncent, mais j’avance, je continue à avancer, quel courage. Ah misère c’est ce que je craignais, mon oncle avait oublié d’enclencher la ventilation la veille :s mon dieu ça va venir, ça y est je m’y prépare, quelle horreur le temps s’est arrêté… je souffre, que je souffre.
Ahhhhhhh ça y est, la vague d’effrois arrive, l’odeur nauséabonde s’écrase sur moi (caco : NON NON C’EST TON AUDEUR JE T’ASSURE), les relents de dix heures de mauvaise digestion de chiliconcarne par des centaines d’adolescents moi je dis : A BAS LA CANTOCHEEEEEEEE !!!
Pfff en plus j’en suis sûre, il l’a fait expret, il sait que cette odeur me dégoûte dès le matin. Bon aller, vérification des petits jets nettoyeurs (et ouai le papier toilette n’existe plus :) ) avouez, vous nous enviez) c’est bon, tout est en ordre. Je sors, je suis enfin libre que c’est bon de respirer. Ah j’oubliais, la ventilation, je ne peux tout de même pas laisser nos petits cerveaux sur pattes se vider sans pouvoir respirer.
Ok celui-ci est fait, encore neuf … j’espère que mon oncle, hier, n’était pas d’humeur à oublier toutes les ventilations :s enfin bon de toute manière c’est mon travail alors go !
……….
-Terminéééééééééééééééééé !!! Il était temps, pfiouu il est 7h30 aller encore trente minutes, j’ai encore le temps de vérifier la salle des professeurs en suite je pourrais traîner un peu.
……….
La cloche retentie, serait il déjà midi ?? Ca passe drôlement vite. Bon c’est à nouveau à moi. Je sors donc de l’appartement, j’ai une heure vingt pour nettoyer les « débordements » des élèves, je fonçais donc, surtout que je commençais à avoir faim (caco :AU PIR TU MANGES LES DEJECTIONS C’EST NATUREL), raison de plus pour me dépêcher. Sur ma route, je rencontrais des tas d’élèves, comme à l’habitude, ils me regardaient comme s’ils regardaient une erreur dans l’une de leur équation, mais cela ne me gênait plus, plus depuis un moment, cela faisait tellement longtemps que je rencontrais ces regards, je préférais m’effacer en baissant la tête, de temps en temps je levais les yeux afin de me repérer, c’était tellement facile de se perdre (caco :OUI SURTOUT AVEC TON SENS DE L’ORIENTATION), c’est à ce moment là que je croisais ses yeux, encore une, elle aussi me regardais drôlement, comment osaient-ils me juger alors qu’ils ne me connaissaient pas, je jetai les yeux au sol et continuais mon chemin.
12h45 et j’avais presque terminé mon travail. J’entrais dans les toilettes des filles, mes préférées, c’est dingue comme les filles sont plus propres tout de même, on se rend tout de suite compte que le sexe fort mène sur tous les points (caco :BIEN CYNTHIA BIEN ). C’est à ce moment là que la jeune fille de tout à l’heure entra et m’interpella :
- Excuse-moi, mais on ne se serait pas déjà croisée ? Me demanda-t-elle
- Eh bien mademoiselle c’est fort possible, je viens souvent dans cette Académie pour déboucher les toilettes.
- Ah … et tu fais encore ça à la main ? On est en 2345, y a des techniques modernes tu sais ? Tiens au fait, je m’appelle Sarah O’Neill et toi?
- Ben moi c’est Sophie Fion, et pour répondre à votre question, oui je fais ça à la main, mon patron n’a pas les moyens d’acheter du nouveau matériel et l’académie n’a pas l’intention de le subventionner, et puis le travail des machines ne vaudra jamais celui d’un humain…
- Bon aller, laisse tomber le nettoyage de la tuyauterie et viens faire un tour avec moi dehors !!
- C’est que … Je ne peux pas…. Normalement, je n’ai même pas le droit de parler avec les étudiants.
- Aller viens, j’te dis … Faut savoir briser les interdits !!!
Est-ce qu’elle se moquait de moi ? Elle était seule et avait l’air sincère, et c’était trop tentant, je la suivi donc jusqu’au parc.
On marchait donc quelques instants dans le parc, après qu’elle ai brisé la glace qu’il y avait entre nous, avec une facilité déconcertante je l’admet, elle me posa tout un tas de questions, sur ma vie personnelle, mes goûts, mes envies… Elle avait l’air très à l’aise auprès de moi alors qu’au contraire, j’étais gênée, intimidée par la seule personne qui depuis longtemps, trop longtemps s’intéressait à moi. Peut être était-ce de la méfiance, ou simplement de le timidité, dans tous les cas je décida de laisser aller mon cœur pour une fois et abandonner ma raison.
Et c’est comme ça que j’appris à mieux la connaître, petit à petit notre vie se dévoila à l’autre, sans que je décide qu’il en soit fait ainsi, ma bouche parlait toute seule, pour une fois je ne contrôlais rien, je me laissais aller, je me sentais bien avec elle, c’était peut être ça que l’on appelait « amitié », je ne cherchais pas à comprendre.
Une demie heure s’était ainsi passée, alors que pour moi elle n’avait durée qu’une toute petite minute, elle devait déjà partir. Alors que je connaissais sa vie, plus que la vie de n’importe qui, elle devait déjà partir. Pendant ce petit moment j’avais pu apprendre qu’elle vivait avec sa tante, seule, mais que contrairement à moi, elle avait toujours été entourée par des amis, des gens qui tenaient à elle, elle m’avait même expliqué que lorsqu’elle était à la petite école, elle s’amusait à collectionner les petits amis, pour créer son homme parfait, elle me disait que lorsqu’elle additionnait les qualités qu’avaient tous ces garçons, elle arrivait presque à avoir l’homme parfait, le seul problème était, que cette perfection était divisée en une dizaine de prétendants.
Elle s’en alla très rapidement, mais m’avait tout de même donner un VP (un visuel portable : une sorte de portable dernière génération) pour qu’on puisse rester en contact.
Après ce petit moment de grande complicité, je me décidais à rentrer chez moi, afin de grignoter quelque chose. Sur le chemin du retour, je m’étais surprise à rire toute seule, en repensant à tout ce qu’elle m’avait raconté, mais bon j’avais de la chance, tous les élèves étaient en cours.
Enfin arrivée, j’eu la surprise de voir un beau petit repas sur la table à manger. Mon oncle, assit comme à son habitude sur son gros fauteuil devant la TV, un journal à la main.
-C’est pour quoi ça ??
Mon oncle leva son nez du journal pour me dévisager drôlement :
-Est-ce que j’ai besoin d’une raison pour préparer le déjeuner de ma nièce préférée ??
-Parce que tu as d’autres nièces?
Pour toute réponse il tourna la tête pour reprendre sa lecture.
-Bon ! Avoues, qu’est ce que tu veux en échange ?? Lui demandais-je
-…
-Aller dis moi, je ferais tout contre ce repas merveilleux *.*
-…
-J’t’en suppliiiiiiiiiiiiiiiiis dis moi quelque chose, n’importe quoiiiiiiiiii T.T
-Rhoooo bon ok, tu te souviens ?…
-Haha ! J’le savais, c’était impossible que tu me fasses un repas comme celui-là sans raison, c’était louche.
-Tsss, bon tais toi un peu que je t’explique, tu te souviens que toutes les fins d’années, à l’académie, il y a un voyage d’organisé pour les « dernière année ».
Tout en mangeant mes raviolis (que mon oncle avait préparé spécialement pour moi) à même la casserole (ça faisait moins de vaisselle), je l’écoutais attentivement.
-Ouiche et alorche ??
-Bah alors c’est évident, tu y vas !
C’est à ce moment là que je décidais de m’étouffer.
-Kof…Kof… Burp (oups pardon) QUOI ?? Mais qu’est ce que tu racontes, les gens qui y vont ont un niveau d’étude bien supérieur au mien, je suis même pas capable de lire…
-Si ce n’est que ça…
-Comment ça 0_0, mais qu’est ce que tu racontes, ceux qui font ce voyage, sont l’élite de l’académie, et moi je n’atteint même pas le niveau du plus nul de cette école.
-Alors je te ferais travailler !
-Pfff mais arrête, c’est pas la peine, j’ai bien trop de retard, toute façon ça m’intéresse pas.
Je repris enfin mon festin. Mon oncle s’était levé et était face à moi, son journal à la main.
-Alors pourquoi tu t’es emporté comme ça ??
Je marmonnais dans ma barbe, la bouche pleine de raviolis, des mots incompréhensibles :
-Murf munch splurf …
-Ouais exactement, et pourquoi alors, tous les ans, lors des départs tu reste là bas à les regarder partir hein ?? Dis moi voir ça !
-J’veux pas y aller, j’irais pas.
-Bon très bien mais c’est dommage, parce que c’est le dirlo qui m’en a parlé, il m’a dit qu’après avoir fait un aussi bon boulot depuis trois ans, tu avais droit à des vacances…
-Il voulait ma mort oui, c’est pour se battre que tous ces élèves y vont.
-Peu importe, il m’a dit que si tu arrivais à atteindre le niveau des autres en 10 mois, tu y aurait ta place.
-« Peu importe » ??? Je pourrais mourir mais « peu importe » ?? :’( Personne nem’aimeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee même pas mon oncleeee.
-Hum tu baves, t’as un peu de sauce dans le cou… Rhoooo pis arrête de geindre, si je te dis ça c’est parce que j’ai vu comme tu les enviais tous les jours.
-Mouerf…
-Mais bon vu que tu ne veux pas y aller, je vais lui dire qu’il n’a pas besoin de garder une place pour toi.
-…
Et il se rassit, de nouveau absorbé par son journal alors que moi je continuais à m’empiffrer de mes délicieux raviolis.
………
J’avais passé mon après midi devant la TV, à regarder une série à l’eau de rose, bien que je préfère les séries avec du sanggggggg « niark niark niark » mais bon je ne m’y intéressais pas, je réfléchissais à ce qu’avait dis mon oncle quelques heures plus tôt.
De toute façon, faire parti de cette expédition n’avais été et ne restera qu’un rêve, le directeur Jack voulait sans doute se faire bien voir par mon oncle afin qu’il reste encore longtemps dans cette académie avec sa misérable paye.
L’horloge scolaire sonnait 18 heure, il était temps que je reprenne le travail.
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