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Geneworld.net>Fan-fictions>Préséa combatir>Magical Night ou la quête du topaze bleu

03 - ET C'EST AINSI QUE TOUT COMMENCE PAR PRÉSÉA COMBATIR

Chapitre 3 : Et c’est ainsi que tout commence

On l’entraîna alors vers le feu. Contrairement à ce qu’on aurait pu penser, le feu ne générait pas beaucoup de chaleur, juste une aura tiède. Au milieu trônait une construction de bois avec un collier retenu par d’innombrable fil, un arc et des flèches. Ils traversèrent le feu et une autre voix résonna.

-Voici ton premier défi, tu devras défaire se collier avec une seule des flèche du carquois. Sache que ton ami l’elfe a déjà échoué à cette tâche.

Au début, elle s’empara de l’arc et d’une flèche. Elle se demandait bien a quoi sa pourrai servir vu qu’elle n’avait jamais décocher une flèche de sa vie, mais le pire c’était qu’elle n’avait droit qu’a une flèche. Dur de couper plusieurs fils en un seul jet. Après mur réflexion elle s’approcha de l’installation munie uniquement de la flèche et coupa tous les fils. Un brouhaha de stupéfaction émana des korrigans alentour.

-Voilà, je l’ai, tonna t’elle.
-Très bien, maintenant sort du feu pour commencer ton deuxième défi !
Lenaïg s’exécuta sans demander son reste, les korrigans étaient de plus en plus agressif et surexcités.
-Maintenant ma belle il va falloir que tu te battes contre nous, dirent-ils.
-Hein quoi ?! Mais je n’ai rien fais de mal !
-Pour les délivrer, tu dois réaliser les défis qu’ils n’ont pas réussis, c’est ton choix ! rétorqua le roi.

Le premier coup parti, elle se retrouva directement au sol, se releva aussi tôt avec l’énergie du désespoir. C’est, la peur au ventre qu’elle se débattait en essayant de repousser ses assaillants qui se jeter sur elle de toute part pour essayer de la plaquer au sol afin d’être plus à sa hauteur. Elle tendit sa main devant elle pour se protéger lorsqu’il y eu une petite détonation. Tous les korrigans reculèrent d’un seul mouvement. La panique commença à s’installer. Lenaïg avait peur elle aussi, mais elle ne compris ce qui c’était passé que lorsqu’elle sentit la Fée bouger dans le fond de sa poche. Grâce à elle, elle avait réussi à s’en sortir, ça la soulagea de savoir que tout ça ne venait pas d’elle.
Elle se releva, ferma les yeux pour puiser en elle le courage de leur foncer dedans. Lorsqu’elle les ré ouvrit une nouvelle force l’habitait. Son regard était vide, elle attaqua sans ménagement les courageux Korrigans qui l’affronté.
La voix du roi retentie :

-Il suffit ! dit il, je pense que tu as prouvée ta force à tous le monde. Passons au défi suivant. Tu sais petite tu es très impressionnante...
La jeune fille lui jeta un regard froid, presque inhumain. Posé sur ses deux jambes les mains sur les hanches, elle attendait la suite des événements tout à fais détachée de ce qui se passé.
Et elle répondit avec un sourire carnassier :

-Je n’obéis à personne, seulement à moi-même.

Mais dans son esprit il se passé tout autre chose. Elle était recroquevillée sur elle même, avec une sensation très désagréable de déjà vu. Son dos se mis a la brûler, elle referma ses bras autour de ses genoux, une marque de feu apparu au creux de son dos, un « S » avec un point a l’intérieure de chaque boucles, puis une douce fraîcheur, s’empara de son esprit. Une pellicule de terre entoura la jeune fille pour la protéger, et le vent du nord se mis a soufflé. Lorsqu’elle sortie de sa coquille, elle était sur l’eau, nue, une autre femme se tenait juste en face d’elle. Elles se ressemblaient comme deux gouttes d’eau, leurs deux mains se touchèrent. L’autre, elle se mit à sourire. Un sourire bien veillant. Un sourire plein de chaleur et d’amour. De sa voix cristalline elle dit :
-Maintenant il est temps. Tu dois accepter ta destinée, viens avec moi, viens en moi, ne faisons plus qu’un….
Elle enserra ses bras autour de la jeune fille, posa sa tête sur son épaule et passa sa main douce dans ses cheveux.
Elle se mit à chanter, un chant très ancien… ou plutôt une douce berceuse.
Lenaïg se sentie enveloppé par un doux voile.
Les deux jeunes femmes restèrent ainsi pendant un bon moment.
A la dernière note de la berceuse, quelque chose se brisa en elle. Quand son esprit réintégra son corps, elle était sûre de ne plus être dans la lande. Le ciel brillait d’une nouvelle intensité. Elle était si fatiguée, tellement fatiguée. Ses pieds se dérobèrent sous elle, et elle sombra dans un profond sommeil sans rêves.
A des millions de kilomètre de là, le livre s’ouvrit brutalement sur la table de la cuisine et les pages se mirent à tourner toutes seules, jusqu’au bon passage. La grand-mère plissa les yeux et son visage se fendit d’un large sourire de triomphe. Elle se dirigea vers le téléphone et passa quelque coup de fils, et se mis a murmuré,
« Maintenant je n’ai plus besoin de ça ! »,
et elle se mit à tirer sur ses rides. La peau se craquela et laissa apparaître le beau visage d’une jeune femme blonde au la chevelure dorée. Elle revêtis un costume noir, jeta une cape de geai au reflet bleuté sur ses épaules et sortie de la maisonnée en claquant le porte. Elle disparue dans la sombre clarté de la nuit, comme par magie…

Lorsque Lenaïg se réveilla elle était attachée à un arbre, une dague braquée sur son cou. La jeune femme en face d’elle là dévisagea avec méfiance, elle tourna autour de Lenaïg, elle approcha un doigt et lui toucha la joue. Au contact froid Lenaïg laissa échapper un petit cri qui fit faire un bon en arrière à l’observatrice. Lenaïg la dévisagea, quelque chose s’agitait de droite a gauche dans le dos de la jeune femme. Celle-ci huma l’air et se rapprocha, défit les liens qui retenaient prisonnière Lenaïg, et lui enserra le poigné avec beaucoup de force. Elle lui tira sur le bras, la ligota et la bâillonna. Elle traîna ensuite son fardeau et le balança sur le dos d’un cheval, puis elle grimpa à son tour. Un renardeau aux grandes oreilles c’était agrippé à son dos et remonta jusqu’à l’épaule de l’inconnue. Le destrier henni et parti au gallot vers le reste des terres inconnues, s’enfonçant dans la profonde forêt qui bordée la clairière. Plusieurs lieues passèrent avant qu’elle n’aperçoive la lueur d’un grand feu de bois, et des maisonnettes construite tout autour. Ce petit village regorgé d’animation, on pouvait entendre les discutions joyeuse et la musique de ce lieu féerique. Le son des cornemuse résonna dans la tête de Lenaïg jusqu'à se que celle qui l’avait kidnappée lui acène un coup dans la nuque qui lui fit de nouveau perdre connaissance.

Combien de jours c’était passé avant son réveille Lenaïg n’en n’avait strictement aucune idée, un jour, un mois, une année peut être seulement quelques heures, quelques minutes, quelques secondes…
Elle était allongée sur une paillasse. On lui avait changé ses vêtements, on l’avait lavé aussi. Au dessus de sa tête elle apercevait un ensemble de planche qui formé le plafond, et en face d’elle une fenêtre recouverte d’un tissu qui dispensé une faible lueur dans la pièce. Ses poignés lui firent mal quand elle essaya de se relever.
Des bruits de pas se firent entendre, et la porte s’ouvrit a la volée. La même jeune femme qui l’avait capturée entra. Elle s’assit à côté de Lenaïg et lui tendit un bol fumant. Une fois que la jeune fille eu fini de manger, elle commença un interrogatoire. Malheureusement, la jeune fille ne comprit pas un traître mot de ce qu’essayé de lui dire son interlocutrice. Lenaïg pris un ère effarée, et la jeune femme compris qu’aucune réponse ne viendrait ainsi. Alors tout doucement elle ferma les yeux et se glissa dans l’esprit de celle qui était alitée. Au début Lenaïg au peur, puis elle sentie que l’autre lui parlait, elle comprenait ce qu’elle disait, et répondait de la même manière.
«- Comment t’appelles-tu ?
-Lenaïg et toi ?
-Je m’appelle Maranwë. D’où viens tu ? Et qu’es tu exactement ? Quand je t’ai récupérait il y avait une lueur blanche tout autour de toi… est tu une déesse ou un démon ?
-Non ! Je ne sais même pas ou on est et ce que je fais ici, » des larmes remplir les yeux de la jeune fille avant qu’elle ne continue, « …je, j’était sur la landes quand… des korrigans me sont tombés dessus, je ne savait même pas que ça existé vraiment. Je veux rentrer chez moi …
-Saleté de Korrigans. Malheureusement je ne pense pas que ce soit possible si tu ne sais même pas d’où tu viens. Je pourrais peut être d’aider, mais pour cela il faudrait d’abord que le concile accepte de te faire confiance.
-Qui sont-ils ?
Maranwë éclata d’un rire cristallin, et dit : ce sont de vieux boucs aussi têtus que des mules ! Mais ne t’inquiète pas je pourrais sûrement les faire changer d’avis. Bon maintenant il faut que j’y aille continue de te reposer petite étrangère.
-Merci Maranwë »
Le contact se rompit et la jeune femme sortie de la pièce laissant derrière elle Lenaïg qui ne tarda pas a se rendormir.

Une femme au cheveux d’or se dirigeait au nord vers la plus grande des citées Sylphe. Elle avait une allure de princesse, mais son regard trahissait qu’elle n’était pas une personne très fréquentable. Elle chevauchait sans ménager son destrier. On aurait dit qu’elle était dans une course folle pour devancer quelqu'un ou quelque chose.

Au loin Yué, Momo et le reste de leur groupe avez trouvés des traces de galopant encore fraîche. Cela ne disait rien qui vaille. Il aurait fallu qu’il « la » trouve avant cette femme. Maintenant le compte a rebours avait commencé. Ils s’élancèrent sur les traces de la fugitive.
La jeune femme entra dans la citée des rois, et se dirigea d’un pas ferme vers les porte du château, emprunta une entrée dérobée, les gardes tout de noir vêtue qui la gardée s’écartèrent en « la » voyant arriver. Son regard jetait des éclairs. Tout ne s’était pas déroulait comme prévu. Des imbéciles avaient contrecarré ses plans. Cette fois-ci elle devrait se battre pour récupérer l’objet qui lui avait été enlevé. Ses pas résonnèrent longtemps dans les couloirs déserts de la forteresse. Soudain des cris lancinant déchirèrent la nuit, on torturait un être sans défense où peut être pas.
Les gens étaient terrorisés, depuis la veille les temps de délations avaient apparemment repris. Cette nuit on avait torturé une personne, on l’avait retrouvé a l’extérieure de la ville le corps lacéré par des coup de fouet. Un frisson parcouru l’échine de la jeune fille. Elle avait parcouru la ville toute la nuit pour échapper aux gardes, son compagnons avait été capturé. Elle l’avait retrouvé dans un sale état. Si elle n’arrivait pas sortir de Sylphe a temps, il mourrait de ses blessures. Elle bouillait de rage, cette torture ne signifiait qu’une chose, cette sale chienne était revenue, et apparemment plus déterminé que jamais. Il n’y avait plus de temps à perdre, l’ordre devait a tout prix être reformé. Elle se dirigea donc avec son compagnon sur le dos vers la porte sud à la couleur d’améthyste, en évitant soigneusement les postes de gardes qui s’étaient formée un peu partout en ville peu avant l’aube. Quand elle atteint enfin la campagne, elle disparue dans les hautes herbes bordant la route.
Pendant ce temps un groupe de cavaliers arrivaient à grande allure des confins du sud. La jeune personne à leur tête avait un fort accent tonique, avec son teint hâler et son sourire charmeur on aurait pu croire à un ange tombé du ciel. Tout le monde se retournait sur son passage, surtout les femmes.

-C’est impossible ! siffla la jeune femme aux cheveux d’or entre ses dents. Je ne supporterais pas un autre échec ! Je vais les faire parler !
-Calme toi donc Katline, dit un homme avec désinvolture.
Un couteau se fichât dans la paroi juste à côté de son oreille.
-Ne m’appelle plus jamais comme ça ! crachat elle.
-Comme tu voudras, répliqua l’homme toujours sur le même ton.
La jeune femme retira le couteau du mur et s’en alla avec une démarche féline.
-C’est ce que j’appelle avoir le sang chaud, murmura l’homme avec un rictus féroce sur le visage.
Il partie dans la direction opposée à la jeune femme pour se diriger vers la partie moins sombre du château. Quand il eut rejoint les larges corridors il abandonna à regrets son rictus, pour une expression plus neutre, digne d’un courtisant en pleine possession de tous ses moyens avec une démarche gracieuse et hautaine. D’un pas assuré il marcha jusqu’aux appartement du roi et entra. Plusieurs heures passèrent pendant cette entretient privée, il en ressortie avec un petit sourire de satisfaction et de victoire.

Yué ruminait. Il avait perdu la fille et n’avaient aucun moyen de la retrouver, en tout cas pas dans ces conditions. Il frappa rageusement un caillou qui se trouvait à proximité. Séréna s’approcha doucement du jeune elfe et le questionna du regard. C’était la première fois qu’elle le voyait dans cet état, d’habitude lui qui était si calme, elle ne comprenait pas sa colère et sa frustration, après tout la fille était dans ce monde alors tout n’allait pas si mal non ? Elle se rapprocha de lui et posa sa tête sur son épaule. L’elfe la laissa faire, elle l’apaisait. Il ferma les yeux et laissa vagabonder ses pensées au rythme de la respiration de la jeune femme. Quand il les rouvrit, la seule chose qu’il lui semblait intelligente était de retourner à Aranel, la ville elfe où avait lieux le rassemblement. Tous deux retournèrent au campement et il fit par de sa décision aux autres. Ils avaient déjà suffisamment perdu de temps ainsi.

A plusieurs lieux de Sylphe, après avoir parcourus les hautes herbes, la jeune femme et son compagnon sortir sur les chemins, et marchèrent droits vers la forêt. Là elle dressa leur bivouaque. Elle étala précautionneusement son fardeau sur un lit de feuilles et commença à lui prodiguer des soins. Au bout de plusieurs heures il s’éveilla enfin. Il avait un regard fiévreux. Il le savait il ne tiendrait pas longtemps. Il attrapa la main de la jeune fille et murmura tellement doucement qu’il obligea la fille a ce pencher pour entendre. Il déglutie lentement.
-Rien… je n’ai rien dit …
-Calme toi tu me racontera tous ça quand tu iras mieux, dit-elle en un sourire
-Non… tu le sais je vais mourir…
Un long silence s’installa, puis le jeune homme souri.
-Ne t’inquiète je serai toujours avec toi …
-Ne dit pas ça s’il te plaît.
Une larme roula sur la joue de la jeune fille. Il l’essuya du revers de la main.
-Tu sais je ne regrette rien … je ne regrette pas non plus la dernière fois, dit il en rougissant.
-Moi non plus répondit-elle, moi non plus je ne regrette pas … mais je …je ne veux pas que tu parte, tu n’as pas le droit ! cria-t-elle
-Je serais auprès de toi pour toujours… je t’aime tant, je t’aime tellement… Roxane … Roxane
Ses yeux se fermèrent et son corps devint mou. Il était mort. Roxane pleura longtemps, seuls ses sanglots et sa respiration saccadée dérangeaient le silence de la forêt.
Au petit matin elle tenait encore le corps de son aimé entre ses bras. Lorsqu’elle s’arrêta enfin de pleurer elle se mit à creuser pour lui offrir une sépulture digne. Le corps enterré, les rituelles accomplies, elle grava sur le bois de la croix « Léo ». Elle s’assit devant la tombe et entama un chant triste.

Un peu avant l’aube, le petit renardeau se faufila entre les draps de la jeune fille, et lui lécha le visage. Lenaïg émit un grognement et se réveilla sous les coups de langues. La petite bête s’agitait dans tous les sens. Elle faisait des allé et retour entre un tas de vêtement, la porte, un tas de vêtements la porte et ainsi de suite. La jeune femme se dirigea vers les vêtements et les enfila. Ils étaient extrêmement doux et résistant, c’étaient un bustier avec des pans qui lui allé jusqu’au cuisse, retenue par deux lanières et un pantalon près du corps.
Dehors Maranwë l’attendais. Elle s’approcha de Leinaïg, lui prit la tête entre les mains et murmura une formule magique. Satisfaite, elle sourit et dit :

-Voilà comme ça tu devrais pouvoir nous comprendre !

Surprise Lenaïg répondit avec joie et entrain « Oui ».
Une sensation de plénitude l’envahie. Elle était contente d’arriver enfin à comprendre Maranwë. Durant son alitement elle était la seule de son peuple a être venu lui rentre visite. Des liens très fort c’était donc tissé entre les deux jeunes femmes, c’est pourquoi le plus naturellement du monde Lenaïg lui sauta au coup. Au début Maranwë fut un peu gêné, mais finit par lui rendre son étreinte. Plus rien ne pourrait maintenant les séparer, elles étaient devenues des sœurs.
Lenaïg entra avec détermination sous le tipi des vieux sages du village. Il y régnait une chaleur étouffante, l’atmosphère était tendue. Elle s’installa au milieu du cercle comme le voulait la coutume, et attendais qu’on l’interroge, l’examine…
Le concile dura des heures et des heures pendant lesquelles on l’examina, on la harcela de question et d’autre.
Les cinq vieux séniles finir par sortie du concile laissant les femmes du clan accomplir le rite initiatique. Lenaïg sortie de la le corps couvert de tatouage revêtue d’une simple robe verte transparente, ses cheveux tombées en cascade sur ses épaules. Le bijou de sa « grand-mère » était retenu par une simple lanière de cuir à son cou.
Maranwë s’approcha le sourire aux lèvres.

-Tu es magnifique…bienvenue sur Fantaisy lui déclara t’elle, je suis maintenant ta Taranis.

Elle pris des cheveux dans sa main et les embrassa. Lenaïg s’empourpra violement, pendant que les autres gens du village s’étaient mis à rire. Elle fut entraînée vers une stèle de pierre bleu ou déjà les gens ce pressé pour danser. La fête dura toute la nuit.

Pendant ce temps dans une forêt des silhouettes encapuchonnés se rassemblèrent. Elles furent dérangées par l’apparition d’une nouvelle qui s’approcha avec beaucoup de volonté et de détermination dans le regard, une aura de feu l’entourait. Chacun se recula pour lui faire place et la laisser pénétrer dans le cercle. Alors elle s’exprima de manière éloquente.
Un cheval s’éloigna bride abattue d’un petit groupe de voyageur assoupie. Le fuyard croyait être passé inaperçu, mais aux fins fond d’un tas de couverture, des petits yeux bleus, l’observait. Le cavalier entra dans la citée et se rendit par diverse chemin de traverse dans le château. La femme aux cheveux d’or était là, et n’était visiblement pas surpris de l’apparition.

-Je t’attendais… déclara la femme aux cheveux d’or.

Le voyageur enleva son capuchon, et la faible lumière des bougies sur le mur laissa apparaître le visage de Séréna dans la pénombre.
Dans un autre monde, les pages du livre se mirent à tourner. Elles s’arrêtèrent enfin à un passage, laissant à la suite des pages vierges. L’histoire allait pouvoir continuer.

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