C’était un jour comme un autre en l’année 200X a « Fleurenpagnole ».
Arigan est un jeune garçon de 16 ans environ.
Un soir en rentrant chez lui, il découvrit un livre, celui-ci semblait avoir été très abimé.
Arigan le ramassa sans se poser de question, le livre est recouvert de cuir brun avec des lettres d’or à moitié effacées par le temps.
Il le fourre dans son sac d’école et rentre chez lui.
Le soir en rangeant son sac, il retombe sur le livre, alors il s’assit à son bureau et regarde la couverture, puis se met à lire le titre en lettres d’or « Attention, si tu ouvres le livre … » il manque la fin.
Arigan ouvre finalement le livre, prend une page au hasard il tombe sur une image, il en a même des frissons dans le dos, il lit le titre à voix haute.
Soudain il ressentit un autre frisson, il se retourne précipitamment ; et en revenant à sa lecture, le dessin avais disparu, apeuré il ferme le livre.
Il remarque alors que le titre d’or est complet, il y lit « Attention, si tu ouvres se livre à voix haute ne lit pas ».
Il ne comprit pas tout de suite l’étendue de son erreur, lorsqu’il sentit alors un souffle chaud derrière lui.
Arigan se retourne avec angoisse, une boule s’était nouée dans son estomac, et là, devant lui une créature aussi belle que terrifiante.
Ses yeux jaunes et ses pupilles en amande, sa crinière bleue, ses pattes de fauves ornés de griffes, ses ailes d’Aigle, sa queue de reptile et ses longues dents de sabre qui semblent vouloir se nourrir de chair rouge dégoulinant de sang me semblées terrifiante.
Il tomba à genoux devant cette bête affreusement belle.
Celle-ci s’approche majestueusement ses énormes pattes de velours semblent caresser le sol de la chambre.
Soudain l’énorme fauve s’arrête et s’assoie en face d’Arigan.
Celui-ci tend alors la main vers elle d’un mouvement maladroit, il la caresse du bout des doigts, et l’étrange animal se laisse faire docilement.
Arigan tremble de tous ses membres, il se relève péniblement tout en regardant l’animal toujours assis à ses pieds.
Il se demande encore si c’est un rêve, il décide finalement de prendre le livre et de chercher une explication à cette situation pour le moins affolante.
En cherchant il découvre finalement que la bête restera a ses cotés pendant une semaine et que si il n’en prend pas soin il sera enfermé a son tour dans le livre.
Arigan cache l’animal dans sa chambre le jour comme la nuit, il passe beaucoup de temps avec le monstre.
Le troisième jour il se réveille subitement et découvre que l’animal n’est plus dans sa chambre, la porte était ouverte.
Arigan dévale l’escalier et cherche l’animal dans le salon, le garage, le jardin, affolé il pense que si quelqu’un voyant l’animal ce serait affreux.
Pendant que ses parents dorment, lui s’efforce de chercher la bête, mais au matin il rentre bredouille, zut, ce dit-t-il je vais finir enfermé dans le livre parce que ce monstre a disparu.
Il remonta dans sa chambre, par chance ses parents dormaient encore, en entrant dans sa chambre il remarque une énorme touffe de poils sur son lit, il tombe à genoux de soulagement et de fatigue devant l’animal endormi.
Plus tard sa mère l’appelle pour lui demander ci c’était lui qui avait sauvagement vidé le frigidaire.
Le cinquième jour la pauvre bête semblait s’ennuyer dans la chambre au côté d’Arigan, celui-ci réfléchit et pensait à sortir l’animal.
Il attendit que ses parents dorment pour se glisser hors de la maison suivi par le fauve.
Sorti de la maison, Arigan dit au fauve de ne pas se faire remarquer des autres gens.
Apres quelques heures de promenade ils décident de rentrer à la maison, mais lorsqu’Arigan ouvre la porte il voit sa mère juste derrière les deux mains sur les hanches.
Celle-ci est furieuse et envoie Arigan dans sa chambre avec pertes et fracas et comme seule excuse de sa part qu’il était sorti prendre l’air.
Arigan descendra plus tard dans la nuit pour laisser rentre l’animal rester dehors.
Le sixième jour la mère d’Arigan décide de monter dans la chambre de son fils pour voir l’état de celle-ci.
La mère ne sait pas que se cache une de plus étrange bête dans la chambre de son enfant.
Mais l’animal ne se montra pas, avait-il trouvé une bonne cachette ?
Non peut être pas car la mère voit dépasser une touffe de poil qui débordait de dessous du lit. Elle s’abaisse pour regarder...
Mais heureusement Arigan entre dans la chambre comme une furie et dit à sa mère de sortir.
Ouf !! se dit-il encore un peu et ça se serait mal terminer !
Le septième jour au soir Arigan dit au revoir a l’animal.
Et lorsque celui-ci disparut, Arigan reprit le fameux livre l’ouvrit à la page de la bête, il la vit belle avec ses magnifique yeux jaunes.
Le livre disparut soudain et avec lui l’image de cette magnifique chimère.
Dans quelles mains réapparaîtra-t-il ?…