Une lumière, quelque chose s’approche de moi… « Princesses, sauvez-nous…Aidez- moi à sauvez mon monde… ». Une femme mais… Que fait-elle ? Elle disparut avec la lumière laissait place à l’obscurité…
« -Ah !? »
Mira s’était endormie et la sonnerie l’avait fait sursauter. Les chaises grinçaient, tombaient et les chuchotements s’élevèrent.Enfin aujourd’hui c’était un jour particulier pour les élèves du collège Kijitori, hé oui c’était les vacances. Devant la porte d’entrée de la 4ème, une fille se tenait droite, elle avait des cheveux mi-long, blond platine, elle était mince et de taille moyenne et elle portait l’uniforme du collège, qui était une jupe bleu, courte et plissée ; un chemisier blanc avec dessus une cravate verte et une veste rouge foncée et des chaussures marrons et des hautes chaussettes blanches qui s’arrêtaient au milieu des cuisses. La fille en question s’avança de Mira et dit :
-Allez, Mira ! La cloche a sonné depuis longtemps !
-Oh, Amanda ! C’est bon, j’arrive, dit Mira, en baillant.
Mira et Amanda étaient meilleures amies depuis la maternelle, elles avaient réussi à rentrée dans le même collège. Mira était dynamique, gentille mais si on l’énervait elle ne se laissait pas faire, mais elle restait distingué sauf pour quelques cas, elle aimait le dessin, le piano électrique et le chant, elle avait pris des cours pour les trois et elle avait fait plusieurs comédie musicale dans le collège avec une autre « comédienne/chanteuse » aussi très populaire, Lucia. Amanda, elle, était plus calme et ne s’énervait presque jamais par rapport à Mira, elle aimait le chant comme son amie mais elle ne prenait pas de cours, elles étaient toutes les deux différentes bien de style que de personnalité c’était de là que venait leur amitié. Elle la regarda, elle l’aurait admiré si se n’était pas sa meilleure amie, elle portait l’uniforme à merveille, mince et grande comme elle était mais Amanda était pareil et tout aussi bien proportionner qu’elle, ne se moquait de personnes et ne fanfaronnait pas à cause de sa popularité. Elle avait des cheveux noirs et raides qui lui arrivaient au milieu de son dos et elle avait aussi du maquillage assez léger, un trait noir sur les yeux et du gris sur les paupières qui faisait ressortir ses yeux noirs. Elle avait aussi rajouter des accessoires à son uniforme : un collier avec en pendentif un cristal bleu entouré de fil d’argent qui donnait l’impression de tourné autour, une chevalière qui avait comme gravure, au milieu un ange entouré de pégases, quelle avait hérité de son arrière grand-père, à la main droite et au poignet gauche, une gourmette en argent avec écrit dessus Mira Kijitori entouré de dessin qui se liaient en forment des boucles et bizarrement quelles que une formaient des notes de musiques. Mira était la descendante d’une famille énormément riche, qui avait fait construire un collège dont le nom, une légende familiale circulait en quoi il y aurait un autre monde et deux jeunes filles le sauverait, de plus cette légende était devenu encore plus populaire car elle avait plu au club de théâtre et en avait fait une comédie musicale pour la fin de l’année qui avait eu un énorme succès. Après avoir dit en revoir à leurs camarades de classe, elles se dirigèrent vers le porche d’entrée, il était en fer argenté un peu rouillé par le temps vu qu’il était là en 1980. Mira et Amanda se dirent au revoir et bonne vacances, puis elles se dirigèrent vers leurs maisons respective, en pensant que Mira habitait le collège pendant les vacances, et en se promettent de se téléphoner pendant les vacances.
A quelques pas de leur classe se trouvait celle de Lucia, qui elle était entrain d’écrire une chanson avant que la sonnerie ne sonne, enfin la cloche qui était aussi vielle que le porche, et ne sonnait que pour la rentrée des classes et le début des vacances de l’année pour la fin de celles-ci c’était les professeurs qui criaient sur les élèves pour qu’ils se rangent c’était donc pour cela qu’elle s’appelait «La cloche de la Liberté ». Lucia, elle avait les cheveux châtains qui retombaient sur ses épaules, les yeux brillants couleurs noisettes ; elle était grande, fine et bien proportionnée. Elle avait un uniforme pareil que celui d’Amanda avec un broche avec une pierre verte pris dans l’argent et des bracelets des couleurs rouges, vertes, bleus et argenté, et une gourmette en or rose avec des dessins comme celle de Mira, vu que c’était sa famille qui lui avait offert, avec son nom écrit dessus, Lucia Kumori. Elle était non calme, mais elle se maîtrisait pour ne pas s’énerver quand ils l’embêtaient se qui était rare car sa cote de popularité était la plus grande du collège avec celle de Mira qu’elle connaissait grâce au club de théâtre, mais aussi très gentille, elle faisait attention à son apparence elle avait un trait de crayon noir sur les yeux avec du beige sur les paupières. Elle aimait la peinture, le chant et la guitare dont elle était très douée. Aussi riche que la famille des Kijitori dont leurs familles étaient amies, elle dirigeait un groupe d’usines, d’ateliers et ils vivaient dans une grande maison, pour ne pas dire un château, qui était sur cinq étages avec des pièces de plus de 50 mètres carrés.
Bien que loin l’une de l’autre les deux filles se préparaient au même évènement, la famille de Mira avait invité celle de Lucia à venir manger dans le collège. Lors de leur arriver vers dix-neuf heures, tous le monde se dirent bonsoir, il y avait le père de Lucia, un grand homme au cheveux noirs, la cinquantaine et celui de Mira, assez grand lui aussi il avait les cheveux bruns et entre 40 et 50 ans. Les deux mères, celle de Mira était grande, mince, avec les cheveux noirs alors que la mère de Lucia avait les cheveux bruns et le grand frère de Lucia, Kyo qui avait le cheveux noirs comme son père, il était grand mince et du point de vue de Mira, il était très beau. Elle avait mis un robe courte s’arrêtant au genou de couleur bleu ciel, resserré à la taille avec un fil de soie bleu nuit, avec une jupe à godets en deux épaisseurs, la première était en soie, mit sur l’autre, de couleur bleu ciel et la deuxième, elle était un plus fin mais opaque de couleur bleu nuit. Elle avait aussi des guêtres bleu nuit jusqu’au cuisses, des bottes blanches s’arrêtant au milieu du tibia, son collier avec le cristal avec sa chaîne en argent et sa gourmette, dedans l’ensemble, elle était radieuse. De son côté, Lucia portait un haut à volant violet, une longue jupe de même couleur qui s’arrêtait au niveau de la cheville avec de la dentelle blanche, elle portait avec des sandales de même couleur. Elle avait aussi la gourmette et un collier, ras de cou blanc, un pendentif en argent incruster d’un cristal, une bague en argent ornée de pégases soulignés de traits dorés et d’anges, elle avait pris un sac en forme de rectangle mit en bandoulière blanc avec une grande étoile violette. Après avoir dîner, les parents parlaient entre eux, Lucia parlait avec son frère et Mira, elle sortit de la cantine, qui était décoré par des chandeliers dorés sur une longue table recouvert d’une nappe crème, dans le couloir de couleur grisâtre était encore moins beau qu’au jour, elle alluma la lumière, allant dans tous les couloirs et dans les salles pour vérifier si elles étaient fermées. Un peu après, elle entendu des voix et s’arrêta devant une salle de classe, en ouvrant la porte coulissante rouge, donnant sur une salle remplit de tables et chaises bien alignées, elle vit assit sur une table, Lucia et son frère parlaient :
- C’est ta classe, dit-il en observant la salle.
- Ca fait bizarre d’être dans sa classe la nuit !
Mira entra dans la classe.
- C’est sûr au début c’est bizarre !dit-elle.
Oh ! Tu étais là, dit Lucia en se retournant vers la porte.
Salut, sortit Kyo qui n’avait pas été surprit par Mira.
Salut, elle se tourna vers Lucia, mais je n’ai rien ou presque entendu, ne t’inquiète pas.
Non, ce n’est pas ce que je voulais dire… euh, tu m’as surprise c’est tout.
Oups, je suis désolé, dit-elle en souriant, et puis je rigolais.
On le savait, dit-il puis se tourna vers Lucia en rajoutant, enfin moi, je le savais.
Ce n’est pas grave, puis Lucia frappa l’épaule de son frère qui poussa un petit « aie » et rajouta, je le savais très bien qu’elle rigolait.
Bon… Bah, j’y vais, dit-elle en se dirigeant vers la porte.
Non, ça va reste, dit Lucia avec un grand sourire.
Ils avaient beaucoup parlé, sur eux, le collège et Mira avait apprit que Kyo avait été adopté et qu’il avait 16 ans, 2 ans de plus qu’elles. Kyo était partit, avec un air que les filles trouvèrent suspect. Après quelques minutes, elles entendirent un grand coup de vent, puis elles virent une lumière intense par la fenêtre se trouvant sur la porte. Les fenêtres claquèrent, la porte s’ouvrit et là ; un monstre mi-loup-garou, mi-tigre de couleur blanc, il avait des griffes longues et pointues sur les pattes recouverte de sang se qui les avait toutes les deux frissonnées, passait devant elles, les deux filles étaient pétrifiées, puis il était suivit par un… ange ! Elles ne pouvaient plus bouger paralyser par la peur, Lucia laissa échapper un cri, là l’ange les regarda comme si il était frustré mais retourna à sa chasse.
- C’est … un…un…mons…monstre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! put enfin dire Mira après avoir observé les intrus.
Oui…et…un…ange ! articula Lucia, complètement perdue.
Suivons-le !
Non mais ne ça va pas la tête !
Mira prit la main de Lucia et la tira à la poursuite de l’ange en se cachant derrière le poteaux, elles eurent plusieurs fois l’impression d’être l’agent 0007 version féminin, arriver au dernier étage, au 4ème, après une poursuite assez longue. A cet étage, il y avait une salle d’archives, la bibliothèque et des salles d’études. Le monstre rentra dans celle des archives, où se trouvait des livres millénaires, très important et rare. Les filles venaient d’arriver et elles voyaient que cette salle était en plein désordre des livres partout par terre, une bibliothèque était tombée par terre. L’ange se battait contre le monstre, qui disparut peu après une lutte de quelques minutes. L’ange se tourna vers elles et les regarda, elles firent de même, il avait un pantalon en soie blanc, un arc mit dans son dos avec des flèches, dans son dos de grandes ailes blanches aux reflets argentés, il avait les cheveux bleu nuit presque noir, des yeux noirs expressifs. Elles étaient fascinées ou carrément apeurées par ce qu’elles venaient de voir, paumées ; le premier à parler fut l’inconnu :
- Euh… vous comptez rester ici longtemps ?
Je te préviens que tu es un ange ! Alors pour nous c’est normal ! dit Mira, d’un ton énervé.
Oui, c’est vrai elle a raison donc ne nous parle pas comme ça !lui dit Lucia sur le même ton, quoi qu’un peu apeurée après l’avoir vu tuer le monstre par un jet de magie.
Pff, si vous ne voulez pas que je vous efface vos mémoires, disparaissez ! Sur ces mots, il alluma sa magie et les filles reculèrent.
Mais ne ça va pas la tête ! brailla Mira, on n’a rien fait nous !
Euh…Mira, calme-toi s’il te plaît…chuchota Lucia.
Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous tuer, dit-il d’un ton assez ironique.
Euh…On le sais mais d’où venait vous ? demanda Lucia, prudemment.
D’un autre monde, pourquoi ?
Hein ? Et tu dis cela comme ça normalement ! cria de nouveau Mira, débité qui est un air si tranquille, après ce qu’elles avaient vu.
Savez-vous que se n’est pas normal de vivre dans un autre monde, Lucia avait prit un air humble et correcte, comme un riche qui faisait un commerce, cela fit une sensation bizarre à la deuxième fille et l’ange qui la regardèrent bizarrement.
T’es vraiment bizarre toi ! lui souffla Mira.
Et Mira s’approcha de l’ange, une question lui trottait dans la tête en repensant au monstre et elle eut vite la réponse, le sang sur les griffes de l’animal était celui de l’ange. Elle alla sur le côté pour ensuite monter sur une petite montagne de livres qui étaient tombés sur le coup, et arriva à un petit coffre avec dessus dessiner une croix rouge prit le trousseau de clés, et pendant qu’elle cherchait la bonne Lucia et l’inconnu l’entendirent chuchoter des jurons, Lucia rigolait silencieusement en voyant son amie s’énerver. L’ange, lui se demandait se qu’elle faisait mais en quelques secondes elle ouvrit le petit placard et en sortit, un rouleau de bandages, un désinfectant, et du coton.
Euh…Tu veux faire quoi avec ça ? demanda Lucia, curieuse.
L’autre idiot c’est blessé ! Donc vu que c’est chez moi je l’aide, normal, lui répondit Mira, qui descendait les escaliers en essayant de ne pas tombé bien qu’elle trébucha et roula jusqu’en bas, et rajouta, j’en aurais peut être besoin moi aussi finalement, puis elle rigola pendant que Lucia l’aidait à se relever.
T’es tout aussi bizarre que moi ! lui dit Lucia, vexée.
Mira lui tira la langue, elle pensait plus à ne pas énerver l’intrus qu’à l’aider donc elle lui demanda de s’asseoir sur une chaise qu’elle avait relevé et il la regarda l’air de dire, « cette fille me criait dessus et là elle m’aide, elle est très bizarre » mais il fit comme elle lui demandait, et montra son poignet, en sang, elle voyait parfaitement la griffure assez profonde et engagea la conversation :
En fait, on ne sait pas présenter ! Moi c’est Mira et mon amie Lucia. J’habit au collège mais d’habitude il n’y a personne, tu as dit que tu ne vivais pas ici, dit-elle tranquille pendant qu’elle épongeait sa blessure, assis en tailleur sur le parquet de chêne, alors c’est où cet « autre monde » ?
Oui, c’est vrai, moi je m’appelle Kyko et c’est un monde parallèle au votre mais je ne dirais pas plus rien, c’est compris.
Joli nom, dit Mira mais cela était faux elle avait remarqué qui mentait et cachait son prénom.
Et lui c’était qui ? demanda Lucia, qui s’était assise à côté de Mira et maintenant elle montrait la poussière laissé par le loup-garou.
Oh, Lui ! s’exclama t-il, c’était un Garajora, une bête envoyé par les Mages des ténèbres.
Ah ! fit-elle d’un air pour dire « j’ai tout comprit » mais de façon très ironique.
Ha ha ! Vous n’avez pas comprit mais de toute façon se ne sont pas vos affaires.
Très drôle ! Bah en clair, vous êtes en danger, non ? fit-elle remarquer pendant qu’elle enlevait sa veste et remontait ses manches pour désinfecter et passé les bandages et Lucia fit de même pour l’aider.
Oui, il avait l’air triste et dit, je suis un chasseur c’est pour cela que j’étais sur la Terre.
Ca à l’air bien, puis elle regarda sa blessure et rajouta vite fait, bien qu’un peu risqué.
Bon, merci, lui dit-il quand eut terminé, je vais repartir.
Au revoir ! lui dit Mira.
Au revoir ! répéta Lucia.
Tenez-vous la main, le vent est violent !
Euh, d’accord, répondit Mira
Mira prit la main de Lucia puis soudain comme une énergie passa entre elles, elles se regardèrent pour savoir si elles avaient eu pareil, ce qui confirma leur hypothèse mais n’eurent pas le temps de dire quelque chose. L’inconnu se leva, prit un livre ancien, qui se trouvait dans un coin, projeté par l’attaque du monstre, avec comme couverture deux anges se tenant la main dos à dos, et des tatouages qui formaient les deux réunis un paire d’aile, les deux anges portaient des robes ou presque et étaient entourées par des courbes dans les coin du livre puis il l’ouvrit. En l’ouvrant, un tourbillon de couleur bleuté apparut dans la salle d’archive du collège, balayant les documents se trouvant à côté de l’ange. Mira et Lucia se demandaient se qui se passait. Le vent si violents déchirèrent les manches de leurs chemises, laissant réapparaître des tatouages, une aile d’ange blanche au contour bleu nuit qui brillaient vivement au contacte des deux filles, sur le bras gauche de Mira et un autre sur celui de Lucia qui attira l’œil de l’ange et avant de partir prit par le bras les deux filles aveuglé par la lumière provenant du livre, elles s’agitaient, se débattaient mais il était trop fort pour elles. Elles décidèrent donc d’attendre pendant quelles chutaient dans un nouveau monde, un endroit qu’elles ne connaissaient pas ; la première chose qu’elles avaient vu de ce nouveau monde c’était un ciel… violet et des nuages…bleus ! Ca y est elles étaient devenues folles ! Elles voyaient un ange, un monstre et un ciel violet ! Enfin c’était de qu’elles pensaient, bien que cela était faux. Mais elles s’endormirent avant de savoir où on les menait.
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