attention chapitre non corriger

Chapitre 1 : lettres et révélations.


Dans Londres, un homme, enfermer chez lui depuis plusieurs mois, était seul, assis sur un lit. Son esprit volait jusqu’à son filleul. Que faisait-il ? Comment allait-il ? Est-ce qu’il était bien traité ? Est-ce qu’il se sentait seul, comme lui, durant les journée ?
Sirius, lui, se sentait seul la journée. Par contre les soirées étaient très animées, puisque chaque soir plusieurs membres de l’ordre du phoenix se retrouvaient pour les réunions. Par contre la journée personne, le vide, il était seul. Le seul travaille pour l’ordre qu’il pouvait faire était de remettre la maison en état.

Des coups frappés à la fenêtre le sorti de ses pensés. Il releva la tête et regarda quelques secondes l’hibou, avant de s’apercevoir que c’était la chouette qu’il avait envoyer a Harry. Il se précipita à la fenêtre pour que l’oiseau puise entrer dans la chambre pour se posé sur le dossier de la seule chaise de la pièce.

Sirius : HARRY MA ECRIT !!! CORNEDRUE junior m’a envoyé une lettre !!!!!!!!!!!!!

Hurlât-il, en récupèrent la lettre à un oiseau tremblant de peur face à cet homme surexcité. Il l’ouvrit prestement et commença sa lecture.

Cher Sniff

Je te demande de lire la suite de cette lettre dans une pièce où tu seras seul et insonorisé. (Je te connais, c’est pour évité si des gens se trouve dans le coin ne t’entend, s’il te plais c’est important.)

Sirius fit se que Harry lui demandait, bien qu’il était seul dans la maison (sauf un vieux elfe de maison), et en prime fermât la porte avec un sort pour être sur (on ne sait jamais). Il s’installa correctement au bureau pour poursuivre cette lettre, plus que bizarre.

Je ne sais pas comment te l’annoncé… Tu vas me trouver misérable, faible, lâche, indigne des Gryffondor… mais là je ne tiens plus…
Je t’en pris viens me chercher, je ne pense pas sinon survivre jusqu’au moment ou les Weasley viendrons me chercher et encore moins jusqu’au premier septembre. C’est devenue invivable ici. Les années précédente sa allait, c’était toujours la même chose, les corvées (s’occupé du jardin, faire la cuisine, le ménage…) Quand je ne finissait pas ou que je cassait quelque chose j’était privé de nourriture, mais pas plus !

Mais maintenant c’est insupportable. Depuis plusieurs jours mon oncle me bat et sa pourrait être pire s’il connaissait mon secret. (Je t’en parlerais la prochaine fois qu’on se verra.)

Je ne veux pas que tu en parles à Dumbledore, il risque de te dire qu’il faut que je reste là pour ma sécurité. Ma sécurité contre Voldemort peut être, mais contre ma propre famille…

Mais je jure que sais vrais. Pitié, viens me chercher...

Ton filleul qui t’aime



Heureusement que Patmol était assis, sinon il se serait effondré par terre. Son Harry souffrait… et lui il ne faisait rien à part resté assis toute la journée, au lieu de l’aidé. Ah non ! Il a juré a James et Lyly de prendre soin de lui s’ils leurs arrivaient quelque chose. Il ne va pas le laisser alors qu’il est malheureux, maltraité par ses monstres. Normalement personne ne viendrais ici avant 18h et il n’est que 15h, il avait donc largement le temps de le ramener sans se faire chopé.

Sur ces bref pensés, il parti en courrant de la maison où il se trouvait. Dés qu’il fut sorti du périmètre anti-transplange, il transplana dans une rue proche de Privet Drive, dans un coin sombre, ou il put prendre sa forme de chien.
Il savait que c’était stupide de se promener en plein jour alors que vous êtes recherché par les deux mondes. Mais son filleul passait avant tous !

Le gros chien noir se dirigea vers le 4 Privet Drive. Rien n’avait changer depuis deux ans, sauf une chose, il faisait jour, arrivé devant la porte de la maison il se mit enfin a réfléchir (NDA : c’est un griffondore sa réfléchit au dernier moment, voir pas du tout XD). Devait-il enfoncer la porte ou sonné… Puis une idée éclaira son cerveau, il se retransformât, pour lancé un alomora pour ouvrir la porte d’entrée au lieu de tout défoncer et de laisser des traces.

Comme quoi, même des Griffondor peuvent être discrets.

Il pénétra dans la maison, baguette devant lui près à pétrifier tous e qui bouge. Un grand silence régnait dans la maison, les occupants étaient sortit.

Heureusement pour eux, qu’ils ne soit pas là, je ne sais pas ce que je leurs auraient fait subit a ses moldues. Pourvue qu’ils n’ont pas trop touché à mon Cornedrue Junior !... Alors…Ou il est ? Souvent les chambres sont à l’étage… Donc les escaliers. (NDA : il voudrait monté comment à l’étage ? avec un ascenseur ? Ils sont pas assez riche pour sa. ^^)

Sirius, se trouvât, une fois les escaliers montés, face à cinq portes. L’une d’elle était différentes des autres. De gros cadenas bloquais la porte de l’extérieur, avec une espèce de trappe en bas, vue la lettre, Sirius était sur que c’était celle-là. Après un autre sort d’ouverture, il ouvrit la porte, d’où s’éleva un grincement sinistre. Il resta interdit quelques secondes devant la scène qui se révéla devant ces yeux (NDA : Merci titisango pour cette phrase !).

Allongé sur ce qui devrait s’appeler un lit, son filleul le dos immaculé de sang. Sirius, après ce temps d’arrêt, se précipita auprès de Harry pour le réveiller. Alors que son but premier était de le secouer comme un prunier, au dernier moment il s’assis à côté de lui et passa sa main dans les cheveux de l’adolescent.

Sirius : Harry ! Harry !!! Hey, réveil toi ! Allez mon grand, je suis venu te chercher.
Harry : Si-Sirius… Tu…Tu es…venu… Merci.
Sirius : Je suis là, ça va aller. Je vais t’emmener chez moi
Harry : Merci
Sirius : C’est normal. Tu peux t’habille tous seul? Ok. Si tu as besoins de moi je serais entrain de rassembler tes affaires… Euh ils sont ou en faite ?
Harry (avec un petit sourire) : Dans le placard sous l’escalier.
Sirius : D’ac. Prend tout ton temps.

Sirius récupéra tous les affaires de Harry avant de le retrouver dans sa chambre. Le jeune homme finissait juste de passer un T-shirt.

Sirius : Tu es près ?
Harry : Attend je doit récupérer une chose. Et oui je laisse les cadeaux ici. Tu comprendras plus tard.

Le jeune sorcier aux yeux vert, se déplaça jusqu’à la droite de son lit pour sous lever une plaque du parquet pour récupérer une vieille lettre jaunie par le temps. Sirius, qui avait rétrécit la malle de son filleule pour la mettre dans sa poche, se rapprochât de Harry pour l’aider a se relever, puis le prit dans ses bras en essayant d’éviter de trop appuyer sur ces blessure. Ils transplantèrent derrière des buissons. Sirius tendis un morceau de parchemin.

Sirius : Lit se parchemin et retiens le. On se trouve dans un parc pas très loin de la ou je vis. Suis moi sous ta cape d’invisibilité que j’ai récupérer dans ta valise. Quand tu me verras m’asseoir face à une maison, tu penseras à ce que tu viens de lire sur le parchemin. A oui, une fois que tu l’as lut détruit-le, mesure de sécurité.

Et avant que Harry n’ai eu le temps d’assimiler tout le petit speech de son parrain, que celui-ci se transformât en Patmole et de s’élancer hors de la cachette. Harry mit vite sa cape lut se qui était écrit et se précipitât a la suite de l’ex-prisonnier, après avoir déchirer en plusieurs morceaux le parchemin. En suivant le chien il passât devant une poubelle, ou il jetât les restes du parchemin (bah oui, notre ryry fait attention a sa planète !)

Malgré ces blessures, Harry n’eu aucun mal a suivre snif, celui-ci l’attendais qu’il fallait tourner a un angle. Une fois sortit du parc, ils marchèrent une dizaine de minutes, avant que Patmole ne s’assoit devant une maison, alors le jeune homme se mit a penser : « l’ordre du Phoenix se trouve au 12 square Grimmaurd »

Entre le 11 et le 15, une maison apparus, les murs des deux maisons s’écartèrent pour lui laisser de la place. Après quelques secondes de contemplation, Sniff aboyât pour faire redescendre Harry sur terre et le faire avancé jusqu’à la porte d’entrée. Alors que la porte se refermait à peine, Sirius se retransformât. Encore une fois Harry ne put émettre le moindre sons alors que son sauveur lui fessait montés les escaliers.

Il put voir que la maison n’était pas en très bon état, de la poussière, des toiles d’araignées, moisissure… se trouvais un peu partout. Au premier étage son parrain le fit rentrer dans une chambre, qui, elle, était propre.

Sirius : Met toi torse nu, je vais te soigné. Je vais chercher de l’onglet, et avant que tu demandes c’est Remus qui la acheter.
Harry : J’ai rien dit.
Sirius : Je sui sur que tu le pensais. L’onglet n’est pas aussi vieux que cette baraque.

Sirius sortie de la chambre pendant que Harry enlevait son vêtement, il s’allongea sur le ventre au-dessus d’un drap juste laver qui reposait lui aussi sur un matelas neuf. Sirius revient peu de temps après avec l’onglet une bassine et un géant de toilette. Il commença tout d’abord de laver le dos du blesser pour enlever le sang, pour ensuite étalé l’onglet sur toutes les blessures de son filleule. Une fois toutes les cicatrices traitées, Sirius lui demanda s’il était blessé autre part.

Harry, après quelques hésitations, se retourna sur le ventre, là Sirius du respiré profondément plusieurs fois pour éviter de faire exploser tout objet en verre présent dans la pièce. Après avoir récupérer un semblant de calme, le maître des lieux étalât l’onglet, sur la marque en W. Au contraire de ses cicatrices dans le dos, celle-ci ne s’estompait pas.
Les soins s’étaient déroulés dans le silence total.

Sirius : Harry…
Harry : présent.
Sirius : Faut prévenir Dumbledore. Tu ne peux pas retourner là-bas.
Harry : De toute façons, il faudra bien que je lui parle un jour ou l’autre. Et puis j’ai un truc à lui dire et a toi aussi par la même occasion.
Sirius : C’est très sérieux, n’est ce pas ?
Harry : Oui, c’est par rapport à moi…Sur moi.
Sirius : Et je suppose qu’il me faudra attendre jusqu'à que Dumbledore arrive soit là pour que tu me le dit.
Harry : Oui, je n’ai pas envi de répéter plusieurs fois la même chose. De plus je ne veux pas que tout le monde le sache, c’est assez gênant.
Sirius : Pendant que je contacte le directeur je te conduis à la cuisine pour que tu manges. Au faite, bienvenue chez les Blacks, la maison de mes parents. Et comme tu as put le lire sur le parchemin, c’est aussi le quartier général de l’ordre de phœnix, organisation crée par Albus Dumbledore, lors de la première guerre. Tous les soirs vers 18h, il y a des réunions pour s’organiser contre le retour de Voldemort. Dumbledore ne voulais pas que l’on te prévienne, pour ne que tu puissent te reposé, faire le point de ce qui c’est passé.
Harry : Je peux comprendre. Mais j’aurais voulu avoir un minimum de nouvelle.
Sirius : Je suis désolé mon grand. Allez tu vas manger, je suis sur que tu as très faim, et moi je contacte le directeur.

Sirius abandonna Harry devant une grande assiette remplis de poulet et de pomme de terre, il parti dans le salon pour contacté le directeur, par cheminée. Il lança de la poudre de cheminette et appelant :

Sirius : Bureau du directeur, Albus Dumbledore… Hé-ho, Professeur Dumbledore ? Vous êtes là ? C’est assez urgent.
Dumbledore : Ah Sirius. Que puis-je pour vous ?
Sirius : Venir ici.
Dumbledore : Pourquoi, Sirius ?
Sirius : J’ai dut récupérer quelqu’un…
Dumbledore : Sirius ! Vous ne deviez pas sortir ! Pensez à Harry. Comment aurait-il réagit s’il vous étiez arriver quelque chose.
Sirius : C’était urgent, et vous venez vous comprendrez.
Dumbledore : Bon, très bien. J’arrive.

L’évadé eu tout juste le temps de s’écarter, que Dumbledore apparu prés de la cheminer. Sirius le conduisit jusqu’à la cuisine. Là trouvèrent un Harry qui était entrain de jouer avec le reste de la nourriture qui se trouvais ans son assiette.

Dumbledore : Bonjour Harry. Je suis assez surpris de te trouver ici et non cher ton oncle.
Harry : J’ai dut prévenir Sirius.
Sirius : Mr le directeur…
Dumbledore : Ecouter Sirius, je sais que vous tenez à Harry mais là-bas il est en sécurité contre Voldemort.
Sirius : Et qui le protège contre son oncle ? Il a été maltraité, battus. J’ai passer une heure a le soigné, je me demande la dernière fois ou il a manger. Il arrive même plus a manger la moitié de se que je lui est donner. Je refuse qu’il y retourne !
Dumbledore : Je…je ne savait pas… Harry, je suis désolé. J’aurai du mieux te protéger, te surveiller.
Harry : Ce n’est pas grave Mr le directeur. C’était la première fois qu’il me battait…
Dumbledore : Ce n’est pas une raison, la priorité est justement ta sécurité, que se soit contre Voldemort ou un autre danger.
Sirius : Il sera protéger ici.
Dumbledore : Je trouve que ce n’est pas assez.
Harry : j’ai peut être la solution.
Dumbledore : et laquelle, Harry ?
Harry : Ceci.

Harry leurs tendis une vielle lettre jaunie par le temps que Sirius reconnus comme celle que son filleule avait récupérer sous son lit.

Harry : C’est de ceci que je te parlais Sirius. Je l’ai découvert lors de mes neuf ans, je ne l’est compris qu’a onze ans, lorsque Hagrid est venu me chercher.
Sirius : C’est de qui ?
Harry : De ma mère… et de mon père…
Sirius : Cornedrue et de Lyly… Mais pourquoi ?
Harry : Lisez et vous comprendrez pourquoi cette lettre va nous aider.

Sur ces paroles, les adultes s’installèrent, sur des chaises, devant Harry pour lire cette mystérieuse lettre.

Notre petit trésor

Si tu reçois cette lettre, c’est que nous sommes morts. Je ne sais pas quel âge tu as en se moment, mais normalement tu la reçut avant tes seize ans.
Tu doit te demander pourquoi nous t’écrivons, alors que tu dort juste a côté de nous. Il faut que tu saches des choses importantes sur toi. On ne va pas tourner autour du porteloing. Tu n’es pas un garçon. En faite tu es une fille, mais avant ta naissance, nous avons appris que Voldemort recherchais une fille pour pouvoir avoir un héritier avec elle. Il enlève tous les bébé de sexe féminin pour pouvoir élever comme mère porteuse, très sage qui reste a sa place, qui ne se plain pas…
L’autre raison qui nous a pousser a te changer de sexe est du a une prophétie, le professeur Dumbledore te la dira.

Nous te proposons un choix, soit tu restes un garçon jusqu’à tes dix-sept ans et après le sort que nous t’avons lancé s’annule, soit tu demandes à Sirius de te retransformer. Le contre sort est « Sublatio Conversio », le sort prendra prés de douze heure pour te retransformer. Tu ne ressentiras aucune douleur.

Pardonne-nous de t’avoir cacher sa aussi longtemps. Sache aussi que personne n’est au courant que tu es une fille, Sirius ton parrain ne le sais pas non plus, aucun de nos proche, pour ta sécurité.

Nous t’aimons de tout notre cœur, notre amour. Nous serons toujours fiers de toi.

Lyly et James POTTER, avec tout notre amour
Tes parents.

PS : Une fois le sortilège annulé, il ne peut êtres relancé
PS2 : Ton prénom est Aryanna.

A la fin de la lecture, les de adultes étaient bouche bée. Voir Sirius dans cet état était possible, mais voir le grand directeur Dumbledore lui aussi dans le même état était mystique, irréelle. Harry trouva sa dommage qu’il n’est pas un appareil photo sous la main.
Après encore quelques secondes de stupeur, Dumbledore reprit la parole.

Dubledore : Je doit t’avouer que je ne m’attendais pas a une telle nouvelle. C’est une surprise. Mais je ne sais pas si c’est une bonne idée que tu redeviennes une fille… Comprend moi, tu es le symbole de l’espoir pour tous.
Harry : Je sais, mais j’ai fait mon choix. Je veux êtres moi-même. C’est pas facile, avec les hormones, cette année j’ai du danser avec une fille. Et vous imager les douches avec les garçons ou encore leurs conversations pour savoir lequel a la plus long ou le plus gros… (Rougi) Franchement la je sature. Et Voldemort recherche un garçon et non pas une fille.
Dumbledore : Peut-être, mais personne ne devra être au courant de tout ceci. Ni Mr Weasley et Melle Granger.
Harry : Je sais. Une seule autre personne sera prévenue, le professeur Lupin. Puisqu’il y a de forte chance qu’il découvre tout grâce a ces senses de loup-garou.
Dumbledore : Et vous Sirius, vous ne dite rien.
Sirius : Je pense que Harry, ou plutôt Aryanna est assez grande pour choisir. Je respecterais son choix. Je peux comprendre que cela soit dur de resté dans un corps qui ne soit en symbiose avec l’âme, l’esprit de la personne.
Harry : Depuis quand tu es aussi psychologue ? C’est bizarre… Qui êtes vous et ou se trouve mon parrain ?
Sirius : Hé ! Je suis toujours fin psychologue !!
Dumbledore : Hum hum… Bon, je n’et plus aucuns moyens de te faire changer d’avis ? Alors je vais vous laisser, je dois trouver une histoire pour que personne ne se demande ou se trouve Harry. Je suppose que je ne reverrais plus Harry donc je te dis adieu.
Harry : Attendez, professeur. J’aimerais savoir qu’elle est cette prophétie.
Dumbledore : Je… En faite quelque temps avant ta naissance, une prophétie a été faite.
Elle dit : « Celui qui a le pouvoir de vaincre le seigneur des ténèbres approche… Il naitra de ceux qui l’ont par trois foi défié, il sera né lorsque mourra le septième mois… Et le seigneur des ténèbres le marquera comme son égal mais il aura un pouvoir que le seigneur des ténèbres ignore… Et l’un des deux devra mourir de la main de l’autre car aucun des deux ne peut vivre tant que l’autre survit… Celui qui détient le pouvoir de vaincre le seigneur des ténèbres sera née lorsque mourra le septième mois… »
On avait de possibilité, pour la prophétie. Cela pouvait être soit ton ami Mr LONDUBAT soit toi. Tom ta choisi pour être celui ou maintenant celle qui le combattra pour la fin de cette guerre. Je n’est pas voulut te mettre ce poids tes épaules, tu es encore jeune. Je voulais attendre le bon moment pour te l’appendre.
Sirius : Dites plutôt que vous ne vouliez rien lui dire. Vous cherchiez juste des excuses. Et nous, membres de l’ordre, vous alliez nous en parler ?
Dumbledore : Non. Pour la simple raison que sa ne concerne que Harry. Pas la peine que tout le monde est les yeux river sur lui plus que d’habitude. Même s’il…elle n’a que quinze ans, ils risque de la forcer à combattre maintenant tous de suite alors qu’elle n’est pas prêtes. Nous avons tous un rôle à jouer dans cette guerre, pas seulement que toi. De plus nous ne pouvons êtres sur qu’un espion ne soit pas dans nos rangs, Voldemort n’est au courant que d’une partie de celle-ci.
Harry : Bon… maintenant je suis au courant de toute l’histoire. Avant que vous ne partiez, vous avez une idée pour l’histoire d’Aryanna ?
Dumbledore : Moui… C’est vrai… Alors tu es devenue orpheline au début des vacances, des mangemorts vous ont attaquez avec tes parents. Tes parents fessaient partie de l’ordre, Eiliss et William PARKER, ils vivaient en Amérique, avec toi. Tu as été prisonnier pendant un semaine avant de réussir à t’échapper, je tu ma prévenu et je t’ai ramener ici au bon soin de Sirius.
Harry : Je suis donc Aryanna PARKER. Il faudra que j’aille acheter une nouvelle baguette.
Dumbledore : Bien sur, tu te l’achèteras en même temps que tes affaires scolaires. Maintenant je doit partir j’ai une nouvelle élève a inscrire. Au revoir Sirius, adieu Harry.
Harry et Sirius : Au revoir professeur.

Après que le directeur soit parti par cheminette, Sirius se retourna vers Harry.

Sirius : Maintenant Harry, au lit !
Harry : Quoi ! Mais se n’est même pas dix-huit heures. C’est trop tôt.
Sirius : Peut-être, mais a dix-huit heures, les membres de l’Ordre arrivent pour la réunion et je ne pourrais pas venir te lancé le contre sort. Ils ne doivent pas te voir, et tu auras besoins d’une bonne nuit de sommeil pour reprendre ton apparence.
Harry : De toute manière, se n’est pas comme ci j’avais le choix…

Harry entra dans sa chambre suivit de près part Sirius. L’évadé s’approchât de la table pour récupérer l’onglet, et se retourna pour faire face à son filleule.

Sirius : Tu l’utiliseras deux fois par jour, jusqu'à que ta marque de brûlure s’atténue.
Harry : D’accord… Euh… Je viens juste de remarquer que je n’ai aucun vêtement pour Aryanna.
Sirius :…
Harry :…
Sirius : Je m’en occuperais demain matin, quand tu te réveilleras
Harry : Et pourquoi pas tous de suite ?
Sirius : Tu connais ton bonnet de soutien gorge ?
Harry : ...

Harry rougit, comme un homard, a cette question.

Sirius : C’est bien ce que je pensais. Alors c’est quoi le sort ? Ah oui, allonge-toi, on sait jamais. T’es bien installé. « Sublation Conversio »

Finalement, Sirius avait de bonne idée, à peine il avait fini de lancer le sort, que Harry s’était endormit. Le parrain regardait son filleule depuis un quart d’heure (il avait prit quelques photos) lorsqu’il entendis la porte d’entré claqué. Il se leva, regarda une dernière fois son filleul, avant de descendre pour accueillir les arrivant pour la réunion.




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