| 08 - LA COMPLAINTE DES ÉTOILES - PARDONNE MOI SHAKESPEARE PAR POWERBALL | |
J’ai vu mourir un jour incertain
J’ai vu naître la lueur du destin
Peut-être me suis-je trompée,
Mais sa lumière m’a éclairée
D’un rayon pur et radieux,
Enfant de l’astre glorieux
Du jour.
J’ai vu croître la nuit
J’ai vu s’élever la clarté blanche
De l’âme céleste de minuit.
Ô astre nocturne continue ta danse !
Rien n’est plus beau pour moi
Que ta lumière et ton éclat
D’amour.
Ô père et mère du ciel
Ô vous Lune et Soleil
Votre ballet astronomique
Porte la marque du tragique
S’aimer sans pouvoir se toucher
Voici votre romance inachevée
A jamais. |
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