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Geneworld.net>Fan-fictions>Sanmiligoku>La villa du soleil couchant

05 - LES JOIES DE L'INDÉPENDANCE BY SANMILIGOKU

Chapitre 05 : Les joies de l'indépendance

Indira regarda Victor sortir de chez elle et regagner sa voiture. Elle n'avait qu'un mot à dire, elle le savait pour passer la nuit chez lui et ne pas se retrouver seule. Mais après avoir passé 23 ans avec une mère étouffante, elle n'avait plus qu'une envie : fuir tout ce qui lui retirerait son indépendance.
Elle n'aurait plus à prévenir personne lorsqu'elle déciderait de ne pas rentrer immédiatement après son travail, elle n'aurait plus à prêter attention à sa montre lorsqu'elle serait dans les bras de Frédéric.
Frédéric ! Elle ne l'avait pas appelé depuis dimanche matin ! Indira allait se précipiter vers son téléphone puis elle réagit. Non, il attendrait encore un peu. Après tout, il n'avait pas voulu la loger !
Indira décida d'aller prendre une douche dans "sa" salle de bains. Elle n'aurait plus à prendre garde à ne pas mettre d'eau sur le sol, à ne pas laisser un cheveu égaré au fond de la douche, ou ne pas mettre de dentifrice sur le miroir fixé derrière le lavabo.
Arrivant sur le seuil de la salle de bains, la jeune fille hésita cependant. En effet, si elle n'avait pas ces trois contraintes parmi tant d'autres à respecter, une nouvelle s'imposait, et de taille ! A présent, elle devrait prendre garde à l'eau qu'elle utiliserait ainsi qu'à l'électricité, le gaz, le téléphone... Cela signifiait qu'elle ne devrait plus prendre qu'une seule douche par jour, qu'elle ne pourrait pas téléphoner à Victor et Frédéric tant que cela, qu'elle de devrait pas oublier d'éteindre les lumières sur son passage...
Et son linge ?? Elle n'avait pas de machine à laver ni de fer à repasser... ni de séchoir à linge... Et ce n'était pas avec les 4000F qui lui restaient sur son compte qu'elle parviendrait à payer tout cela, d'autant plus qu'elle n'avait pas encore remboursé un centime de ce qu'elle devait à son frère. Oh... Vivement la fin du mois qu'elle touche son salaire ! Et si... et si elle allait voir son patron pour lui demander une augmentation ? Oui, c'était une bonne idée ! Elle irait dès le lendemain matin et en attendant, il fallait songer à économiser car la fin du mois, ce ne serait que dans une semaine !

Le lendemain matin, Indira arriva de bonne heure au bureau. Elle se dirigea directement vers la secrétaire de direction, qui s'occupait elle-même du planning du directeur.
-Bonjour Betty.
-Oh, Indira ! Bonjour, comment vas-tu ?
-Bien. Dis-moi, M. Sansous est là, s'il te plaît ?
-J'ai bien peur que non. Notre directeur est parti négocier plusieurs affaire importantes et ne sera pas de retour avant la fin du mois.
-C'est bien ma veine, grommela Indira.
-Tu disais ? demanda la secrétaire de direction.
-Oh non, rien ! Tant pis, je repasserai au début du mois prochain, alors.
-Si je peux faire quelque chose pour toi...
-Non, je te remercie Betty.
En sortant du bureau de la secrétaire de direction, Indira croisa Christine.
-Oh, Indi ! Je me disais bien que tu étais là. Il me semblait bien avoir vu ta voiture à l'autre bout du parking. Quoique j'ai failli penser que ce n'était pas la tienne. Je ne la voyais pas en aussi mauvais état dans mes souvenirs.
Indira fulminait. Elle avait intentionnellement garé sa voiture au bout du parking pour que personne ne la remarque, et c'est l'effet contraire qui se produisait.
-Si, c'est bien ma voiture, répondit-elle néanmoins avec le sourire.
Elle croisa le regard étonné de sa collègue.
-Allons bon ! Ma voiture n'est tout de même pas encore une épave.
-Non, je pensais à autre chose, répondit Christine. Ton débardeur... N'est-ce pas celui que tu portais hier ?
Indira avait en effet mis le même haut que la veille pour s'épargner les frais de laverie, et elle pensait que personne ne s'en apperceverait. Mais c'était compter sans l'oeil de fouine de Christine.
-Oh non, répondit-elle cependant. Tu dois confondre.
-Si, je suis sûre à présent. Je t'ai même dit hier après le déjeuner que ce rose irait particulièrement avec mon teint de pêche.
-Tu dois confondre avec un autre jour, rétorqua Indira mal à l'aise. Ou alors avec un autre de mes hauts. Je sais quand-même comment je m'habille !
-Ne te vexe pas, Indira, répondit Christine ennuyée. Ce n'était pas mon but. Et je constate à présent que ce n'est pas facile de s'installer. Tu as des problèmes d'argent, je vois.
-Je ne demande pas de pitié !
-Indi, ce n'est pas de la pitié. Je t'aime bien, je croyais que nous étions amies, que nous pouvions parler...
-Chris...
-Je vois, dans le fond, la vie est un éternel miroir. C'est toi qui devrais être blessée de ne pas avoir d'agent et c'est moi qui le suis parce que je suis sûre que tu ne vois en moi qu'une petite pimbêche bourgeoise.
Indira se sentait vraiment honteuse. Comment pouvait-elle se rattraper ?
-Si tu veux, hasarda-t-elle, tu peux passer me chercher eet me ramener, ça me ferait plaisir et à ma vieille Super 5 aussi.
Christine éclata de rire.
-Tu habites où ?
-A la Villa du Soleil Couchant.
-Très bien. Tous les matins, 7h40, je serai devant chez toi !
Indira jeta un oeil à sa montre et dit, amusée :
-Nous ferions bien de regagner nos bureaux respectifs, il est bientôt 8h30. Le patron n'est pas là mais ce n'est pas une raison...
Les deux amies se lancèrent un regard complice puis elles allèrent chacune de leur côté dans leur bureau. A ce moment-là, Indira réalisé que l'indépendance n'était vraiment pas simple car elle demeurait encore dépendante de quelqu'un.
Tout d'abord, elle devrait appeler son frère ou recevoir ses appels téléphoniques pour qu'il ait de ses nouvelles. Ensuite, elle serait dépendante de Christine qui assurerait ses transports de la villa au bureau et vice-versa...
En rentrant chez elle, Indira décida de téléphoner à Frédéric car il commençait à lui manquer. Elle décrocha alors le combiné de son socle et elle composa le numéro sur le cadran. Après quatre tonalités, la voix chaude
de Frédéric se fit entendre.
-Allô ?
-Fred ?
-Oh, Indi, comment vas-tu ? J'ai vraiment eu peur en voyant que je n'avais plus de tes nouvelles depuis dimanche.
-C'est que j'ai été vraiment occupée. Je ne vis plus chez mes parents et trouver un endroit où vivre, acheter des meubles et emménager n'a pas été une mince affaire.
-Je connais ça, répondit Frédéric pour clore le sujet. Quand est-ce qu'on se voit ?
-Tu peux venir passer la nuit chez moi si tu veux.
-Oh non... viens, toi !
-Je ne peux pas car demain, Chris vient me chercher pour aller au bureau.
-Très bien, alors j'arrive vers 19h00 avec une bonne bouteille.
-C'est inutile, je n'ai que de la nourriture bon marché à te proposer.
-Ne t'en fais pas, Indi, je sais ce que c'est que s'établir seul et je ne te demande pas la lune.
-Alors à tout à l'heure, répondit Indira.
-Et puis ne t'en fais pas pour le repas, je passerai prendre une pizza.
-Je peux très bien faire à manger, protesta Indira.
-Tu n'auras qu'à faire de la salade si tu en as. A tout à l'heure !
Indira raccrocha et s'activa à faire le ménage. Elle aimait beaucoup cette villa et ne voulait pas que Frédéric en dise du mal. Elle astiqua alors ses meubles, balaya et récura. Puis elle se prépara. Elle se doucha et elle se vêtit d'un chemisier noir, d'une jupe courte noire, de bas noirs et de bottes noires, le tout agrémenté d'une ceinture argentée lui retombant sur la hanche avec un semblant de négligé. Elle se maquilla et coiffa longuement sa chevelure blonde.
Indira préparait la vinaigrette lorsqu'on sonna. Elle alla ouvrir et fut nez à nez avec Frédéric. Il n'était pourtant que 18h45.
-Bonjour, dit-elle avec un sourire aimable.
-Désolé d'être en avance, s'excusa le jeune homme, mais je ne pouvais plus attendre.
-Tu étais impatient de visiter ma villa ?
Frédéric hocha négativement la tête tandis que son regard brillant, démentait lui aussi.
-Tu as faim, alors ?
Même réaction de la part du jeune homme.
-Très bien, j'abandonne. Rentre ! dit Indira en s'éloignant à l'intérieur de la villa.
-Attends, lui dit son ami.
Il se pencha sur elle et l'embrassa sur les lèvres.
-Voilà la raison de mon impatience, dit-il amusé. Mais nous pouvons cependant dîner. Nous avons toute la nuit devant nous.
-Si j'ai bien compris, dit Indira en fermant la porte derrière Frédéric, le programme de la soirée se résume en trois points essentiels : dîner, visite de la villa, et... dodo.
-J'aurais très bien pu la résumer en un point uniquement mais vous, les femmes, trouvez toujours une multitude de choses à dire ou à faire qui retardent le moment fatidique.
Frédéric dévisagea Indira de la tête aux pieds et dit avec un sourire mi-amusé mi-sérieux :
-Pourtant, j'aurais juré que tu avais à dessein de me séduire, ce soir, vu la manière dont tu es habillée.
-Heureuse que ça te plaise, répondit Indira avec un clin d'oeil. Depuis que nous nous connaissons, je me suis toujours présentée à toi en jean et en pull, sans maquillage, parce que ma mère ne voulait pas que je sois jolie pour sortir. Alors maintenant, je te fais profiter de mon indépendance.
-Rassure-toi, je compte bien en profiter, dit Frédéric d'un ton lourd de sous-entendus. Est-ce que tu veux bien passer le week end chez moi ?

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Voilà un nouveau petit chapitre, et attention car dans le prochain... enfin, je vais pas vous raconter, vous verrez bien ^^

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