Resumen : Souvent, lorsque je poussais la porte menant au toit du vieux bâtiment de l'école, je trouvais Hayakawa en train de fredonner. Si on ne se voyait pratiquement pas en dehors de ce petit paradis isolé, nous n'en étions pas moins amis. Mais un jour, Hayakawa a soudainement cessé de venir sur le toit. Parfois, je me rappelle encore son visage, ce jour où nous nous sommes parlé pour la dernière fois. J'ignore si c'est un coup du destin ou une simple coïncidence, mais le temps figé semble à présent s'être remis en marche... |